Et bien voilà. Triste anniversaire de notre rupture. Je me sens comme l'obligation d'y penser un peu aujourd'hui, de penser à celle que j'étais il y a un an. Perdue dans les sombres sphères de ton âme dévastatrice. Petite, malade, gênée, gênante. Je m'écumais petit à petit, je rétrécissais.
Toute cette période est si loin à présent. Tu n'es plus, jeune fille malade. Tes pleurs ont été entendus.
Un an après, tu es métamorphosée.
Heureuse, tu croques la vie, tu as embrassé ton chemin.
Les jours sont beaux, juteux. Tu as aimé vivre jusque là, sans lui.
Ta Convalescence est finie. Il est si loin derrière. Il ne te manque pas.
Si j'avais pu me voir, il y a un an. Si guérie et si heureuse. J'en aurais versé moins sans doute.
Et moi, aujourd'hui, dans un an ? Qui serais-je, Ou serais-je ?
Je souhaite ne pas m'égarer dans mon errance, garder mon intégrité et ne pas avoir à faire de concessions.
Je ne veux pas écrire plus, ce serait continuer de donner une idiote importance à ce jour qui a retrouvé sa neutralité.
T. est loin, anéanti.
Je suis une nouvelle personne.
Le 17 Mars est mort.
Toute cette période est si loin à présent. Tu n'es plus, jeune fille malade. Tes pleurs ont été entendus.
Un an après, tu es métamorphosée.
Heureuse, tu croques la vie, tu as embrassé ton chemin.
Les jours sont beaux, juteux. Tu as aimé vivre jusque là, sans lui.
Ta Convalescence est finie. Il est si loin derrière. Il ne te manque pas.
Si j'avais pu me voir, il y a un an. Si guérie et si heureuse. J'en aurais versé moins sans doute.
Et moi, aujourd'hui, dans un an ? Qui serais-je, Ou serais-je ?
Je souhaite ne pas m'égarer dans mon errance, garder mon intégrité et ne pas avoir à faire de concessions.
Je ne veux pas écrire plus, ce serait continuer de donner une idiote importance à ce jour qui a retrouvé sa neutralité.
T. est loin, anéanti.
Je suis une nouvelle personne.
Le 17 Mars est mort.
Non mais en vrai de vrai, plus je parcours ton blog et plus je me rends compte qu'on aspire aux mêmes choses, culturellement, émotionnellement ou intellectuellement... Puis je crois surtout que nous sommes les mêmes petites branleuses qui retombent toujours sur leurs pattes au lycée en n'en faisant pas une.
Et bon dimanche !