Zingara

Il neige à Séville

Samedi 2 février 2013 à 13:32

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Lundi 12 novembre 2012 à 11:53

Le Soleil tape. Mes vêtements glissent seuls le long de mon corps. 
Voilà de nouveau l'appel de la sensualité, le Soleil, en ce jour d'automne, veut en couvrir mon corps. 

La violence de ses rayons, cette chaleur intense, cette rage, cette passion et cette musique si rythmée qui me ramène à cet été brûlé. 

Le ventre nu, l'huile d'argan et ces oeillades, ces regards qui me dévorent. 

Soleil. Fais brûler mon corps au son de sa voix. La direction symphonique de ma jouissance. Brûlée vive. 

La Nature rayonne. Il me prends la main, on s'échappe au milieu des oliviers. Tout le monde suppose que je suis avec lui, inconsciente. 
Le Soleil réveille mon désir. 

Le désir d'être interdite. 

La tension de nos coeur, le Soleil brûle. Je m'offre toute entière à lui. Brûle-moi. Et dans cette journée, rappelle l'été frénétique et disparu. 
Exacerbe ma passion et consume mon orgasme. 

Zingara. 


Dimanche 28 octobre 2012 à 10:21

 
Vous la connaissez cette gitane ensorcelante de beauté ? Oui, celle aux courbes voluptueuse, au regard de braise, à la crinière flamboyante et au parfum envoûtant ? 

Les bohémiennes de la Littérature sont réputées pour être d'une grande beauté. Dans cette catégorie d'articles, nous parlerons de
Beauté,
de Bien-être,
de Bonheur et
d'Amour.

Les conditions, selon moi pour accéder à la Jeunesse et à la Beauté Eternelle









***

Bien au chaud dans ma cabane, le froid arrive à grands pas, ici aussi, en Provence.
Il y a même eu quelques flocons de neige ce matin. Mais le soleil est tout de même là, bien là, ces rayons pour sublimer la Nature. Les couleurs d'automnes ont remplacé maintenant celles de l'été qui se fane.

Mon été s'est envolé, mes amours aussi.
L'Hibernation va commencer. Nous hibernons presque tous naturellement, je pense. Le cycle de notre corps se calquant sur les saisons qui passent.

 

Je hais le mois de Novembre.

C'est le mois transitif où nous passons de l'automne des vignes, des vendanges à l'automne qui pleure de ne pas être l'hiver encore. Novembre est un mois bancal. 
Je pourrais très allègrement me terrer dans un coin de ma cabane, ne plus sortir et rester prostrée, les larmes pleines de regrets, de tristesse sauvage et de mélancolie. Mais si je laisse mon corps et mon âme s'abandonner à cette langueur monotone, je n'en sortirai que lorsque les premiers rayons du printemps apparaîtront de nouveau.
Mais si j'installe dans mes jours, un soin de beauté quotidien, alors je ne cesserais de fleurir. 


Et sur le chemin que j'emprunterai, je rencontrerai encore l'Amour. 

***


 

 

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